*batalla cultural dreta vs esquerra*
PARTICIPACIÓ POLÍTICA I GUERRA CULTURAL:
ACTUALITZACIONS DE LA DRETA, IMMOBILITAT A L’ESQUERRA.
La 'participació política' ha estat entesa, segons el moment històric, i les diferents inèrcies culturals de cada comunitat, de maneres ben diverses. Per a poder, però, prèviament, cal arribar a un consens suficientment operatiu sobre els dos conceptes que expressen, via títol, el tema, la qüestió:
>'Política'
>'participació'
(1)...Desprès del Concili Vaticà II, triomf de l’auto-secularització de lo religiós, ve en 1968 Humanae Vitae, encíclica que defensa une posició maximalista prohibint qualsevol pràctica sexual no destinada a la procreació. Els catòlics no entenen pas aquest tro en un cel blau. Els laics s’indignen amb aquest Papa reaccionari. Perquè, quan l’Esglèsia havia desplegat una teoria de la modernitat, insisteix en aquest punt sobre la norma? Per que que ens trobem llavors en un pivot, la ruptura fonamental dels anys 1960: els nous valors fonamentats en la individualització, la llibertat i la valorització del desig ja no són valors cristians secularitzats. La llibertat de la persona du per sobre de totes les normes transcendents, ja no hi ha moral natural...
...Sovint hi ha crucifixos a les aules i mai un diputat comunista italià ha demanat que siguin retirats. Ha calgut que una finlandesa atea s’inquietés per la influència nefasta del crucifix sobre son fill per que l’afer acabés dut davant la Cort Europea dels Drets de l’Home, qui d'altra banda detesta ocupar-se de religió (i prefereix brandar el principi de subsidiaritat per deixar als Estats manegar lo religiós: però això ja no funciona car la qüestió religiosa s’ha justament globalitzat). Per a defensar la presència del crucifix, els advocats de l’Estat italià l’han definit com a un símbol nacional de la cultura italiana, que no té res a veure amb la fe...
(2)...Se'l citi o no, la extrema dreta ha aprés la lliçó de Gramsci, com explicà i posà en pràctica amb èxit fa dècades Alain de Benoist per a revitalitzar i transformar el neofeixisme gal i, així també, europeu. I l'esquerra, en això, hauria d'aprendre ara de la ultradreta... en el sentit de reforçar-se ideològicament i entendre que la batalla cultural és crucial ara més que mai.
(1.- Olivier Roy; "L’Europe est-elle chrétienne?")
(2.- Steven Forti; "Las redes globales de la extrema derecha 2.0"; CTXT, 3-XI-21. laicismo.org)
5-XI-211, Cassandra
La inevitable guerra entre la Fe i la Raó només pot acabar amb l'aniquilació d'una de les dues (costa imaginar que de les dues).
Els lliberals són una olla de grills on ni són els que estan ni estan els que són.
D'altra, la possibilitat de llibertat depèn de la consciència d'individu -que n'és EL subjecte- com a prèvia necessària. I de la decisió voluntària d'assumir-la, de responsabilitzar-se'n.
De fet, són la mateixa.
De l'armament que pugui desplegar
llibert > llei sagnant
s'ha de tenir Fe, per a conFiar en la Llei!
La Llei pot limitar, o eliminar, les llibertats.
Per a defendre-les hi hauria el petó (millor sexualitat desaforada) entre Justícia i Llibertat
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(1)...Après Vatican II, triomphe de l’auto-sécularisation du religieux, vient en 1968 Humanae Vitae, encyclique qui défend une position maximaliste interdisant toute pratique sexuelle non destinée à la procréation. Les catholiques ne comprennent pas ce coup de tonnerre dans un ciel bleu. Les laïcs s’indignent de ce pape réactionnaire. Pourquoi, alors que l’Église avait mis en place une théologie de la modernité, insiste-elle à ce point sur la norme ? Parce que nous nous trouvons alors sur un pivot, la rupture fondamentale des années 1960 : les nouvelles valeurs fondées sur l’individualisation, la liberté et la valorisation du désir ne sont plus des valeurs chrétiennes sécularisées. La liberté de la personne l’emporte sur toutes les normes transcendantes, il n’y a plus de morale naturelle...
...Il y a très souvent des crucifix dans les salles de classe et jamais un député communiste italien n’a demandé qu’ils soient retirés. Il a fallu qu’une Finlandaise athée s’inquiète de l’influence néfaste du crucifix sur son fils pour que l’affaire finisse par être portée devant la Cour européenne des droits de l’homme, qui déteste par ailleurs s’occuper de religion (et préfère botter en touche en arguant du principe de subsidiarité pour laisser les États gérer le religieux : mais cela ne marche plus car la question religieuse s’est justement globalisée). Pour défendre la présence du crucifix, les avocats de l’État italien l’ont défini comme un symbole national de la culture italienne, qui n’a rien à voir avec la foi...
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(2)...Que se le cite o no, la extrema derecha ha aprendido la lección de Gramsci, como explicó y puso en práctica con éxito hace décadas Alain de Benoist para revitalizar y transformar el neofascismo galo y, a la postre, europeo. Y la izquierda, en eso, debería aprender ahora de la ultraderecha... en el sentido de reforzarse ideológicamente y entender que la batalla cultural es crucial ahora más que nunca.
(1.- Olivier Roy; "L’Europe est-elle chrétienne?")
(2.- Steven Forti; «Las redes globales de la extrema derecha 2.0», CTXT, 3-XI-21, laicismo.org)
5-XI-211, Cassandra
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Olivier Roy
Le pouvoir est légitime en soi comme volonté,
les États-Unis, où le premier amendement défend la séparation du religieux et du politique. La différence avec la France réside dans le fait que dans le système américain, la séparation protège le religieux du politique, alors qu’en France, elle protège le politique du religieux. Les États-Unis n’en restent pas moins un pays de stricte séparation des Églises et de l’État.
Après Vatican II, triomphe de l’auto-sécularisation du religieux, vient en 1968 Humanae Vitae, encyclique qui défend une position maximaliste interdisant toute pratique sexuelle non destinée à la procréation. Les catholiques ne comprennent pas ce coup de tonnerre dans un ciel bleu. Les laïcs s’indignent de ce pape réactionnaire. Pourquoi, alors que l’Église avait mis en place une théologie de la modernité, insiste-elle à ce point sur la norme ? Parce que nous nous trouvons alors sur un pivot, la rupture fondamentale des années 1960 : les nouvelles valeurs fondées sur l’individualisation, la liberté et la valorisation du désir ne sont plus des valeurs chrétiennes sécularisées. La liberté de la personne l’emporte sur toutes les normes transcendantes, il n’y a plus de morale naturelle.
La norme est explicite tandis que la valeur est implicite.
La liberté de penser est celle d’avoir des opinions « politiques, philosophiques et religieuses ». Or pour un croyant, la foi est bien plus qu’une opinion. L’opinion se négocie, pas la foi.
constater l’ambiguïté du concept de souveraineté dans le contexte iranien. En effet, adoptée en 1979, la Constitution de la République islamique d’Iran repose sur deux piliers fondamentaux : la reconnaissance de la souveraineté absolue en Dieu – souveraineté divine, essence de l’Etat islamique – et la reconnaissance de la souveraineté populaire, fondement de légitimité politique. Cette double souveraineté à la base de l’Etat islamique rend le système politique iranien assez complexe dans sa conception ainsi que dans son fonctionnement
On s’aperçoit que toute la culture dite de libération achève sa course dans une explosion de normativité.
un fait structurel : un État produit de la norme, et non de la valeur, laquelle ne peut qu’émaner d’une culture commune.
Il y a très souvent des crucifix dans les salles de classe et jamais un député communiste italien n’a demandé qu’ils soient retirés. Il a fallu qu’une Finlandaise athée s’inquiète de l’influence néfaste du crucifix sur son fils pour que l’affaire finisse par être portée devant la Cour européenne des droits de l’homme, qui déteste par ailleurs s’occuper de religion (et préfère botter en touche en arguant du principe de subsidiarité pour laisser les États gérer le religieux : mais cela ne marche plus car la question religieuse s’est justement globalisée). Pour défendre la présence du crucifix, les avocats de l’État italien l’ont défini comme un symbole national de la culture italienne, qui n’a rien à voir avec la foi. Le crucifix, pour l’État italien, n’est au fond qu’un morceau de bois culturel.
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La cause du crucifix a été gagnée au prix d’une sécularisation du religieux. Ainsi, soit on est dans la culture, et il n’y a plus de religieux, soit on est dans la religion et il n’y a plus de culture. Avec la « culturisation » du crucifix, on n’est plus dans la religion.
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Las redes globales de la extrema derecha 2.0
Por: Steven Forti · Fuente: CTXT, 3 noviembre, 2021. laicismo.org
...Que se le cite o no, la extrema derecha ha aprendido la lección de Gramsci, como explicó y puso en práctica con éxito hace décadas Alain de Benoist para revitalizar y transformar el neofascismo galo y, a la postre, europeo. Y la izquierda, en eso, debería aprender ahora de la ultraderecha. Evitemos malentendidos: no debería aprender en el sentido de copiar sus ideas como defienden los rojipardos o algún izquierdista despistado, sino en el sentido de reforzarse ideológicamente y entender que la batalla cultural es crucial ahora más que nunca.
Gladiadores y guerreros culturales
Lo mismo puede decirse para las escuelas de formación. Ya se sabe, los partidos no son lo que eran. Cierto. Pero la ultraderecha parece haber entendido que sin unas escuelas donde se forman cuadros –o, como los llaman ellos, líderes del futuro– no se va muy lejos en política. Y la extrema derecha 2.0 lo está haciendo ya a escala nacional y también global. Este es, por ejemplo, el objetivo del Instituto Superior de Sociología, Economía y Política fundado por Marion Maréchal en 2018: después de su sede francesa, ubicada en Lyon, hace un par de años se ha abierto también una sede en Madrid, presidida por Miguel Ángel Quintana Pérez y vinculada estrechamente, por más que lo desmientan, al entorno de Vox, a través de figuras como Kiko Méndez Monasterio y Gabriel Ariza, hijo del presidente de Intereconomía.
Sin embargo, ya antes, en los tiempos del gobierno nacionalpopulista italiano formado por la Liga y el Movimiento 5 Estrellas, el exconsejero de Donald Trump, Steve Bannon, había intentado algo similar en el monasterio de Trisulti, en las afueras de Roma. Con la colaboración del Instituto Católico Dignitatis Humanae, presidido por Benjamin Harnwell, Bannon se proponía crear una escuela populista que tenía como objetivo formar unos “guerreros culturales” y unos “gladiadores” para defender la cultura occidental judeo-cristiana. El caso de Trisulti, por más que haya fracasado, nos muestra la porosidad de estos ambientes: acérrimos ultraderechistas, miembros de la Alt-Right estadounidense, conservadores post-reaganianos, católicos integristas y un largo etcétera colaboran superando sus divergencias en proyectos transatlánticos, en este caso en la formación de nuevos cuadros.
Bannon, muchas veces presentado como una especie de genio del mal, ha estado a menudo vinculado con muchos de estos proyectos. Dejando de lado la capacidad para venderse a los medios de comunicación como un titiritero que mueve los hilos del guiñol, algo lejos de ser verdad, el exdirector de Breitbart News había también lanzado, allá por 2018, The Movement, una plataforma que se proponía unificar a la extrema derecha del viejo continente de cara a las elecciones europeas del año siguiente. O, como mínimo, ofrecerle apoyos y ayudas en análisis, estudios y propaganda. Es cierto que a Bannon la mayoría le cerró la puerta en la cara, excluidos Salvini, Meloni, Bolsonaro y el partido de oposición de Montenegro, pero no cabe duda de que a “Sloppy Steve” –“Steve el torpe”, como lo definió Trump en un memorable tuit– no le faltan ni recursos ni know-how. De hecho, más en la sombra que hace unos años, Bannon ha viajado recientemente a Madrid –no sabemos si para reunirse con Vox– y se ha movilizado para conseguir el éxito de la CPAC-Brasil (Conservative Political Action Conference).
Parece que en el último año Bannon ha ido reconduciendo sus desavenencias con Trump que, de hecho, le amnistió a última hora antes de dejar la Casa Blanca, imputado por defraudar a donantes para la construcción del muro en la frontera de México. Además, Bannon, siguiendo la voluntad del expresidente, se ha negado a comparecer ante el comité legislativo que está investigando el asalto al Capitolio el pasado 6 de enero, obligando a la Cámara de Representantes estadounidense a declararlo en desacato con la posibilidad –remota, pero existente– de que sea condenado a un año de cárcel.
Las lobbys integristas cristianas
De cara a las elecciones de finales de 2022, en las que Bolsonaro se juega la reelección, Brasil se ha convertido en una de las principales preocupaciones de la extrema derecha que quiere conservar uno de sus más importantes bastiones a nivel mundial. Asimismo, el interés en América Latina ha ido en aumento con el avance de una nueva ultraderecha en la región, entre el giro ultra de Keiko Fujimori en Perú; la aparición de un libertarismo de extrema derecha en Argentina, de la mano de Javier Milei; o la candidatura de José Antonio Kast en las presidenciales chilenas de este mes de noviembre. No es casualidad que Vox, a través de la Fundación Disenso, haya lanzado el Foro de Madrid, una comunidad que denomina Iberosfera y que se propone como la alternativa ultra a los progresistas Foro de Sao Paulo y Foro de Puebla. De ahí el activismo de Santiago Abascal y Hermann Tertsch que han visitado México y Perú para establecer contactos que han atraído también a políticos antes vinculados con el PP, como el exmandatario colombiano Andrés Pastrana.
Putin se ha convertido en un referente para muchos ultraderechistas europeos, empezando por Marine Le Pen o Matteo Salvini
El caso latinoamericano nos lleva a hablar de una de las más poderosas redes globales que sirven a la extrema derecha 2.0 para entablar relaciones, elaborar una agenda común y encontrar financiación: la integrista cristiana. Hablamos en este caso de un verdadero lobby, comparable al de las armas, representado en Estados Unidos por la Asociación Nacional del Rifle y con tentáculos también en Europa. El mundo integrista cristiano ha ido creando foros de debate, fundaciones, think tanks y asociaciones desde finales de los años noventa, como mínimo. Además, supera las fronteras de las diferentes iglesias existentes, englobando o, por lo menos, poniendo en relación tanto a católicos como a ortodoxos y evangélicos.
Un ejemplo de los más conocidos es el Congreso Mundial de las Familias (WCF), organización fundada en Estados Unidos en 1997. El último congreso, hace dos años, se celebró en Verona – cuando Salvini era ministro del Interior–, mientras que en 2012 se realizó en Madrid. El WCF defiende una agenda provida y pro-familia tradicional y se opone al aborto y los derechos al colectivo LGTBI, tanto que el South Poverty Law Center la ha incluido en su listado de grupos de odio anti-gay. Y no se trata solo de los sectores críticos con Bergoglio dentro de la Iglesia católica: hay una parte del mundo ortodoxo, especialmente cercano a Vladimir Putin, como el oligarca ruso Konstantin Malofeev, promotor de la fundación San Basilio el Grande, que es parte integrante de esta red. Estamos hablando de un laberinto infinito de decenas y decenas de pequeñas y grandes asociaciones, a veces vinculadas directamente con las otras, a veces solo indirectamente, como, la española HazteOír, fundada en 2001 por Ignacio Arsuaga y muy cercana a Vox, que en 2013 ha lanzado su lobby internacional, CitizenGo.
Budapest y Varsovia, los centros de operaciones europeos
En esta como en otras cuestiones, el mundo ultraconservador ruso y de la Europa oriental ha estado muy activo desde el minuto uno. Por un lado, Putin se ha convertido en un referente para muchos ultraderechistas europeos, empezando por Marine Le Pen o Matteo Salvini, que han incluso recibido o, como mínimo, buscado financiación en las latitudes del Kremlin. Por el otro, la existencia de dos gobiernos ultraderechistas en Varsovia y Budapest ha permitido tener dos bases desde donde actuar. Para mencionar solo dos de las iniciativas más recientes, en mayo se ha inaugurado en Varsovia la nueva universidad de los ultras polacos, el Colegio Intermarium, promovida por el think tank católico Ordo Iuris. En el acto inaugural participaron una numerosa delegación húngara, otra estadounidense –con el ya citado Matthew Tyrmand, el director del Acton Institute, Alejandro Chafuen, o el escritor católico ultraconservador Rod Dreher– y el joven meloniano Francesco Giubilei, presidente de la Federación Tatarella y del think tank Nazione Futura, vinculados a Hermanos de Italia.
A finales de septiembre también se celebró en Budapest la Cumbre Demográfica, organizada por el gobierno magiar de Viktor Orbán, que reunió al exvicepresidente norteamericano Mike Pence, a los presidentes de diferentes países de la Europa del este que miran con interés al modelo húngaro –el esloveno Janša, el checo Babiš, el serbio Vučić, el serbio-bosnio Dodik–, a los franceses Éric Zemmour y Marion Maréchal, al salviniano Lorenzo Fontana o Jaime Mayor Oreja, presidente de la Federación Europea antiaborto One of Us y vinculado en la actualidad al instituto fundado por la nieta de Jean-Marie Le Pen en Madrid. El tema de la demografía, que la ultraderecha y el mundo cristiano conservador conectan con la inmigración y las políticas favorable a los derechos civiles, es justamente una de las estrategias que permite a la extrema derecha salir de sus fronteras ideológicas y entablar relaciones con sectores de por sí no tan radicales.
La extrema derecha 2.0 lleva tiempo rearmándose a nivel discursivo e ideológico. Y para hacerlo ha ido creando un sinfín de asociaciones, fundaciones, organizaciones, think tanksy revistas. Las que he mencionado en este artículo son solo la punta del iceberg. Debajo de las olas del océano, sin que nos demos cuenta, hay una red inmensa, poderosa y bien financiada. Si no queremos que el mundo progresista acabe como el Titanic, al descubrir la entidad real de esta red, hay que hacer dos cosas: investigar más cómo se mueve la nueva extrema derecha a nivel internacional y rearmarse mejor que ellos para frenar su avance y vencerlos. El tiempo apremia. Pongámonos las pilas.